Dans chaque coin de rue, Marrakech s’embrase de couleurs. Le rouge brûlé des murs ocre, le bleu profond des portes cachées, les éclats dorés des épices qui s’entassent en pyramides parfaites : tout y est palette vivante.
Les odeurs s’entrelacent, nous envoûtent et diffusent un parfum aux miles couleurs.
Et puis il y a la foule, dense, vibrante, un fleuve humain qui glisse, se presse. Mon appareil à tenté de saisir ce désordre magnifique, figé dans l’instant, mais bruissant encore de vie.




